Métro : privé et public main dans la main

Des Bons d’Etat bruxellois

Parce qu’il ne suffit pas de blâmer l’autre pour dire qu’on a la solution. Parce qu’il faut aussi être capable d’en produire, des solutions : je vous propose celle-ci pour Bruxelles. Je me réjouis de vous lire.

Les Bons d’Etat émis cette semaine (au rendement net de 2,81% sur un an – avec un précompte mobilier de 15% au lieu de 30%) sont déjà un succès.

Le constat est pourtant là depuis longtemps : l’épargne des Belges est importante.

En parallèle, la situation financière des pouvoirs publics s’aggrave dangereusement.

Des réformes substantielles s’imposent dans de nombreux pouvoirs publics mais en parallèle des éclats de génie doivent permettre de relancer des états ou des régions qui peinent à proposer des projets structurants, ambitieux, porteurs d’emploi, de richesses et d’avenir.

C’est le cas par exemple de Bruxelles : la dette a triplé en 10 ans et le déficit est énorme.

Conséquence : le seul projet structurant de Bruxelles, son métro, est en danger de mort.

Ce projet est pourtant capital pour rattraper le retard de Bruxelles en termes de mobilité.

Le métro permet aussi de changer le visage de quartiers et de ses habitants en apportant une solution de mobilité efficace. Demandez plutôt aux habitants d’Evere ou de Schaerbeek comment ils font pour rejoindre Uccle ou Forest en moins d’une heure.

Mais ce métro – comme d’autres projets dont Bruxelles aurait besoin – ne pourra pas se financer uniquement avec de l’argent public issue des impôts des travailleurs et des entreprises. Et il est hors de question de taxer plus encore.

Néanmoins, Européens, Bruxellois, navetteurs ont besoin de ce métro.

Et justement : Européens, Bruxellois, navetteurs ont peut-être envie de placer leur argent dans un projet structurant pour Bruxelles.

A Paris, ils l’ont fait : pour financer le Grand Paris Express la Société du Grand Paris a émis des émissions obligataires qui s’inscrivent par ailleurs dans le cadre des Green Bonds Principles.

https://lnkd.in/eXvHesBg

Bruxelles n’est pas Paris.
Mais Bruxelles vaut bien un métro.

Sortir de la culture de l’excuse pour rentrer dans la culture du résultat

Sur Vivacité, j’ai souligné l’importance de sortir de la culture de l’excuse pour rentrer dans la culture du résultat.

Propreté, enseignement, sécurité

Tout d’abord, on veut un Bruxelles plus propre et plus beau. Le bel exemple, c’est la Gare du midi. Ensuite, Bruxelles doit tourner autour d’une école performante autour de laquelle on crée de l’emploi là où il y en a pas. Finalement, chaque femme qui rentre tard le soir ne doit plus avoir peur et ne contre aucune difficulté, comme par exemple à la Gare du Midi ou dans certains quartiers.

Un autre projet est possible pour Bruxelles

Durant ces 20 dernières années, le Gouvernement bruxellois a utilisé des recettes qui n’ont pas fonctionné. Nous voulons expliquer à toutes celles et ceux qui ont voté PS pendant des années que leur projet ne fonctionne pas. Nous, nous avons un projet qui vise, non pas uniquement à garder ces classes moyennes qui quittent Bruxelles chaque jour, mais surtout, à créer de la classe moyenne. Faire en sorte que celles et ceux qui cherchent un emploi ou qui cherchent à sortir d’une situation parfois un peu difficile depuis trop longtemps, parfois de génération en génération, puissent en sortir. Selon moi, les recettes socialistes n’ont jamais réussi à résoudre ces problèmes.

Retrouvez l’interview complète ici.

Destruction du Palais du MIDI : réaction et nos propositions

Il nous revient que le Gouvernement bruxellois va décider de la destruction d’une partie du Palais du Midi dans le cadre de la future ligne 3 du Métro.

Le MR Bruxelles tient à réagir en 3 points :

1. Nous demanderons au Parlement toutes les études qui prouvent qu’aucune autre option n’était possible.

Plusieurs experts nous ont contactés pour nous expliquer l’inverse. Nous voulons la lumière. Ainsi, nous soutenons la demande de classement du bâtiment demandée par l’ARAU dans le sens où la transparence n’a toujours pas été faite sur l’étude et le résultat des possibilités techniques différentes à la disposition des ingénieurs pour éviter cette destruction.

2. Dans l’hypothèse où la destruction du Palais sera bien actée, nous demanderons, au Parlement, une indemnisation maximale des commerçants, habitants, associations pour lesquels la destruction du toit signifie la fin d’un rêve entrepreneurial, sportif ou de vie. Jamais la destruction du toit n’a été prévue dans les discussions autour du Métro 3. La stupeur est totale et il est un minimum que la Région les aide à surmonter cette épreuve qui s’apparente à un rêve brisé.

3. Nous apprenons que certains refuseraient d’offrir la possibilité aux commerçants de revenir dans leurs locaux une fois les travaux terminés. Cette possibilité doit absolument être offerte.

Abandonner la construction du métro 3 n’est pas une option

Abandonner la construction du métro 3 n’est pas une option. Le MR est le seul parti à défendre la construction de ce métro qui est plébiscité par les Bruxellois.
Quand il s’agit de promouvoir la gratuité des transports ou de doubler les subsides, le Gouvernement bruxellois (PS-Ecolo-DéFI) répond présent et trouve de l’argent. Mais pour le seul projet porteur de la capitale, il décline.

Métro 3 : le seul projet porteur de la capitale

« Il faut quand même qu’on m’explique pourquoi à Madrid, ils ont pu construire des dizaines de kilomètres de lignes de métro en une dizaine d’années. Et nous, à Bruxelles, on est planté sur 100 mètres depuis 20 ans. Moi, je ne comprends pas. À Bruxelles, il y a un projet structurant, un seul, c’est le métro. L’abandonner ou faire un aveu d’échec, ce n’est pas une option. Mais nous, le MR on est les derniers qui défendont encore le métro à Bruxelles. »

Ecolo s’y oppose depuis le début

Le vers était dans le fruit à partir du moment où vous donniez la mobilité à des ministres écolos à Bruxelles, vous saviez bien que le métro n’allait pas avancer très vite. Depuis le début, ils s’y opposent. Quand on voit que certains disent : “ah tiens, il n’y a plus de sous”, alors que je suis désolé, mais même ma voisine, elle sait que quand elle va rénover sa cuisine, il va y avoir certainement un budget supplémentaire. Ils ont, pour certains, dû construire la gare de Mons, ils ont bien vu que ça coûte plus cher. Donc dire aujourd’hui qu’il n’y a pas eu de prévisibilité économique, ça n’est que l’aveu, je suis désolé, mais de l’incompétence, singulièrement du Gouvernement bruxellois par rapport à ce seul projet structurant et capital, pas uniquement pour Bruxelles mais pour la Belgique et donc l’Europe. Ce n’est jamais un problème les excès budgétaires pour Bruxelles quand ils veulent faire la gratuité des transports en commun, là ça va, quand ils veulent doubler la politique de subsides, là ça va. J’en passe et des meilleures. Donc à un moment donné, si vous avez vraiment une vraie priorité, un vrai objectif, vous la tenez. C’est dans les crises que l’on reconnaît la valeur des vrais gestionnaires. Et là, ici, on a une belle crise où ils pourraient montrer leur vraie valeur. Des tas de villes comme Paris, Copenhague ont aussi fait d’autres options, un partenariat beaucoup plus puissant avec le privé. Partenariat public-privé, parce qu’à un moment donné, c’est vrai que ce n’est pas l’État qui peut tout financer. Vous avez des entreprises qui sont prêtes à le faire.

Retrouvez mon interview sur La Première 

 

Réforme des sacs-poubelle : une réforme qui sent mauvais ?

Si nous souscrivons au fond de cette réforme (qui découle d’une disposition européenne) et qui vise à réduire de 40% nos sacs blancs via le tri des déchets organiques, nous avons des mégardes sur les choix du Gouvernement bruxellois :

➡️ Plus qu’une seule collecte de sacs blancs pour de nombreux quartiers (imaginez l’odeur si vous cuisinez du poisson en début de semaine) ;
➡️ Une non adaptation aux différents quartiers bruxellois ;
➡️ Un délais court pour déposer vos sacs devant chez vous ;
➡️ Une agence Bruxelles-Propreté qui ne possède toujours aucun contrat de gestion.

Enfin, on peut également questionner cette méthode archaïque qui consiste à déposer ses sacs-poubelle devant chez soi. Plusieurs villes européennes ont instauré des containers enterrés pour éviter de se retrouver avec des milliers de sacs qui jonchent le sol des rues.

Si vous êtes mécontents de cette réforme et que vous rencontrez divers problèmes, n’hésitez pas à nous en parler.

Plus d’infos 

Propreté : Le Ministre-Président doit devenir le Monsieur Propre de la Région

Bruxelles est sale, et cela ne peut plus durer. Le Ministre Président doit devenir le Monsieur Propre de la Région. Le laisser-aller du Gouvernement se ressent jusque dans la propreté de notre ville. Je veux réaffirmer l’autorité de l’Etat en insistant sur trois points.

Respecter et punir

La prévention reste la meilleure des méthodes mais pour ceux qui ne comprennent pas, il faut agir. Nous créerons une police chargée de la propreté et nous augmenterons drastiquement le montant des amendes. Cela ne veut pas dire que nous ne continuerons pas la prévention, notamment dans les écoles où les jeunes générations doivent comprendre que la propreté est la première des mesures contre la pollution.

Oser une meilleure gestion

Une meilleure gestion des collectes d’abord. Pour bien nettoyer Bruxelles, il faut bien connaître Bruxelles. Or, nous le savons, tenter d’appliquer une règle commune dans un territoire avec tellement de différence est une erreur de jugement.
Une meilleure gestion de l’agence ensuite. Il faut transformer les méthodes de rémunération et y ajouter une partie variable qui dépend de la performance.
Enfin, il faut une meilleure gestion du recyclage. Comment après 5 ans d’un gouvernement écolo les chantiers autour de la biomethanisation n’avancent pas ? Pour l’instant, toujours pas d’usine ou de développement de plus petites structures pour y pallier.

Repenser le rôle de l’état

Là aussi, il nous faut gagner en lisibilité entre les niveaux de pouvoir. Un déchet est communal, son ramassage régional et le vent qui l’emporte est fédéral. Les citoyens ne comprennent plus et sont otages d’une ville salle et de niveaux de pouvoir qui se renvoient la balle.
Il faut aussi accepter d’ouvrir la réflexion du partenariat avec le privé. Plusieurs villes européennes y ont recours. Pour nous, ce n’est ni un tabou ni un dogme, mais une piste à explorer.
Enfin, une ville propre c’est aussi une myriade d’externalités positives pour une ville : moins d’insécurité ( comme l’explique la théorie du broken window) , plus d’attractivité économique, plus de tourisme, un meilleur vivre ensemble…
Au fond, une ville propre peut avoir plusieurs ambitions, une ville sale ne devrait en avoir qu’une.

Retrouvez l’article complet de La Capitale ici
Retrouvez l’intervention sur BX1

Rythmes scolaires : avoir une semaine commune entre la Flandre et la Communauté française

« Dès l’an prochain, nous nous retrouverons dans une situation que nous craignions : il n’y aura pas de semaine de congé en commun entre la Flandre et les enfants de la Fédération Wallonie-Bruxelles ». 

Des changements, mais seulement dès 2024-2025

“Je tiens à souligner qu’il s’agit d’une bonne réforme dans l’intérêt de l’enfant , nuance David Leisterh. Toutefois, il existe des spécificités bruxelloises qui doivent être prises en compte. C’est la raison pour laquelle nous avons plaidé, au niveau bruxellois à l’époque, pour qu’il y ait un parallélisme de la réforme avec la Flandre . Je regrette que la Flandre n’ait pas suivi. Je regrette aussi que la réforme de la ministre de l’Enseignement obligatoire n’ait pas intégré cette demande.

La demande de modification du calendrier porte en outre sur l’année scolaire 2024-2025, et non sur l’an prochain. “ Un changement décrétal pour ne pas se retrouver dans la situation qu’on va connaître en 2024 aurait dû s’opérer. Mais je comprends qu’il n’y a pas de majorité pour ce faire , constate David Leisterh. Par contre, pour les années suivantes, le calendrier se précisera par arrêté. Dans ce cadre, nous demandons à la ministre Désir de garantir des semaines de congé en commun entre les communautés, pour chaque semestre. Ce sera techniquement possible pour 2024-2025 et 2025-2026 et nous demandons que ce soit bien le cas.”

L’année 2026-2027 s’annonce, elle, encore plus problématique puisque le décret, en l’état, ne permet pas de faire coller la moindre semaine de congé entre communautés. Caroline Désir table sur le fait que, d’ici là, la Flandre aura emboîté le pas aux francophones. “ Si ce n’est pas le cas, nous ferons de la modification du calendrier une condition du MR dans l’accord du futur gouvernement” , prévient David Leisterh.

 

Retrouvez l’article complet de La Libre Belgique 

Friche Josaphat, Good Move : je fais le point

Pour LN24, je reviens sur deux sujets forts de l’actualité : la Friche Josaphat et Good Move. Pour le premier, je regrette le choix du Gouvernement bruxellois de vouloir supprimer un pan de la biodiversité bruxellois. Pour le second, Good Move a manque de méthode et de talent. Le Gouvernement a créé des quartiers enragés, et non apaisés.

Friche Josaphat : préserver la biodiversité

Au lendemain des marches pour le climat, le Gouvernement bruxellois nous avait promis de la verdurisation. À la place, on a vu naître des blocs de béton et puis, maintenant, des murs de béton sur la Friche Josaphat. Or, cette Friche a été reconnue par des scientifiques comme un lieu ayant une haute valeur biologique.

De plus, plusieurs enquêtes publiques concluent leur rapport en expliquant que le projet amener par le Gouvernement bruxellois (construire des logements sur cette Friche), n’est pas le projet souhaité par les habitants du quartier.

Depuis le début de ce dossier, le MR a été proactif en déposant un texte pour préserver cette espace de biodiversité. Avec Gaëtan Van Goidsenhoven, le MR Bruxelles demande qu’une partie de la Friche devienne une réserve naturelle. Nous estimons qu’il existe d’autres espaces prêts à être réhabiliter pour accueillir de nouveaux logements (gare du Midi, zone du Canal, Marina, etc.).

Good Move : ni talent, ni méthode

La philosophie de Good Move est, sur papier, bonne : moins d’embouteillages, moins de pollution. Toutefois, le Gouvernement bruxellois n’y a mis ni talent, ni méthode. Bruxelles a perdu 5 ans. Bruxelles est encore plus en retard en termes de mobilité. Au lieu d’avoir des quartiers apaisés, on se retrouve avec des quartiers enragés.

Sur les 20 dernières années, c’est à peine une quinzaine de kilomètres de lignes de tram, métro et bus en plus. Il faut également une plus grande concertation lorsque vous impactez les quartiers en termes de mobilité. Au moins 50% du quartier doit être consulté.

Retrouvez l’interview complète ICI.

Fonction publique : un meilleur contrôle des résultats

Sur LN24, j’ai défendu l’idée d’un service public mieux controlé pour plus d’efficacité, notamment pour les hauts fonctionnaires.

Quels résultats ?

Il faut une véritable évaluation du résultat produit par le haut responsable d’une instance publique. Certains hauts fonctionnaires gagnent un salaire élevé alors que les résultats de l’instance publique ne sont pas à la hauteur qu’ils devraient être.

On doit évidemment se concentrer sur le montant des salaires, un débat doit avoir lieu. Mais il ne faut pas oublier la culture des résultats. Les instances publiques bruxellois conditionnent la vie de 1.200.000 Bruxellois

L’opposition présente dans les CA des OIP

Enfin, toujours concernant la transparence de la fonction publique, il est primordial d’ajouter les partis de l’opposition dans les CA des Organismes d’Intérêt Public. Le MR est dans l’opposition depuis 20 ans. Autrement dit, depuis 20 ans, le MR apprend par la presse ce qu’il se passe dans les hautes instances des organismes publics. Cette donnée doit changer.

La méthode de la gauche ne fonctionne pas

La gauche, à Bruxelles, a créé une série d’organismes publics, parapublics, eux-mêmes contrôlés en interne par je ne sais combien de personnes, dont l’efficacité peut être remise en question. C’est la technique classique de la gauche à Bruxelles. Si ça ne fonctionne pas, on subventionne une ASBL. Si ça ne fonctionne toujours pas, on donne un kicker à cette ASBL. Toutes ces actions résultent en une perte d’argent public, votre argent qui mérite d’être utilisé correctement.

 

Voir ou revoir l’émission de LN24

Le MR, 1er parti en 2024, pour redresser Bruxelles

Sur BX1, j’ai fait le point sur différents sujets d’actualité. Il revient notamment sur le service citoyen obligatoire et les raisons pour lesquelles le MR doit être le premier parti en 2024.

Le MR, 1er parti en 2024, pour redresser Bruxelles

Le MR est dans l’opposition depuis 20 ans, et cela se ressent.

  • Bruxelles a un des taux de chômage les plus élevés d’Europe
  • Bruxelles a un des taux de pauvreté les plus élevés d’Europe
  • 40.000 personnes et 3.000 entreprises quittent Bruxelles chaque année
  • Bruxelles, c’est un communautarisme de certains qui brise le vivre ensemble que devrait être cette région aux 183 nationalités
  • Bruxelles a malheureusement une mobilité imaginée par des donneurs de leçons et faite de bloc de béton qu’on a appelée good move
  • Bruxelles, c’est une crise budgétaire où la dette a triplé en 10 ans et où le déficit est passé de 150 millions à 2 milliards

Les Bruxellois veulent une autre alternative. Et pour cela, nous abattons un travail de terrain depuis plus d’un an. Nous sommes tous les week-ends et en semaine aussi, dans la rue à frapper aux portes, à aller sur les marchés pour convaincre de l’idéologie libérale.

Un service citoyen obligatoire pour aider les jeunes

À Bruxelles, il existe des quartiers où des jeunes ont connu leurs parents et leurs grands-parents qui cherchaient un emploi,  qui voulaient sortir de cette situation mais ne trouvaient pas la porte.

Le service civil obligatoire est une des solutions. Dans un monde de mondialisation où justement, on cherche à rencontrer le monde dans son ensemble, il faut d’abord qu’on apprenne à se connaître soi-même, à découvrir un maximum de ses passions, de ses opportunités.

Le service citoyen actuel n’est pas suffisant, il n’y a qu’entre 500 et 1000 personnes d’inscrites. Pour David Leisterh, il faut implémenter ce service via une activité en deux temps. D’abord nous voulons que des jeunes venus de toute la Belgique se retrouvent pour une période de tronc commun pendant laquelle nous organiserons des débats et différents ateliers autour de la citoyenneté. Ensuite, nous offrirons aux jeunes la possibilité de rejoindre différents organismes tels que des ASBL, des entreprises, des acteurs sportifs, ou encore des CPAS et le secteur social.

 

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