Des réformes dès les 100 premiers jours

Pour La Capitale, j’ai donné une interview des mesures que nous allions prendre si nous montons au pouvoir durant la prochaine législature.

Nous monterons dans le Gouvernement si nous  avons un mandat fort de  l’électeur. Dans les 100 jours, je veux que les réformes en termes de marché de travail, de mobilité, de   délivrance de permis, de propreté et les grands chantiers soient lancées et déposées au Parlement. Les caisses de la Région bruxelloises sont non seulement trouées, mais, derrière cela, elle a contracté une multitude d’emprunts qui ont fait exploser la dette. Celle-ci a triplé en dix ans. Le gros enjeu, c’est de recréer de la capacité fiscale à Bruxelles et refaire fonctionner l’entreprise «Bruxelles». Nous avons plusieurs propositions.

D’abord, faire une réforme du marché du travail extrêmement rapide et efficace. Il faut s’assurer qu’il y  ait un « match » entre le  nombre de demandeurs  d’emploi et les métiers en pénurie. Deuxièmement, il faut s’assurer que les entreprises reviennent à Bruxelles. Actuellement, elles sont 3.000 à la quitter chaque année ! Elles crient régulièrement les solutions pour inverser cette tendance.Troisièmement, assurer  un sentiment de sécurité  qui soit total. On a main tenant des fusillades à la Toison d’Or, à la Gare du Midi et à la Gare du Nord. Pour moi, c’est la condition sine qua non : plus de policiers ; des policiers sur le terrain ainsi que des caméras ; des sanctions qui soientappliquées. Et enfin : refaire du beau à Bruxelles. C’est la propreté bien sûr et cela  nécessitera une réforme totale de Bruxelles Propreté. Il faut « magnifier » des endroits à Bruxelles. On n’y arrivera pas avec l’argent public car les caisses sont vides. Il faut tendre la main au secteur privé.

Retrouvez l’interview complète dans La Capitale.

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