Risque d’effondrement dans les tunnels Vleurgat et Bailli, le gouvernement PS-Ecolo-Défi fleurte avec le danger

À Bruxelles, des étançons vont devoir être installés dans les tunnels Bailli et Vleurgat en raison d’un risque d’effondrement de la dalle de toiture.

Le gouvernement bruxellois a approuvé ce jeudi le lancement d’un marché pour l’étançonnement des tunnels Bailli et Vleurgat. Ces travaux de sécurisation à réaliser en urgence coûteront la bagatelle de 14 millions d’euros. C’est Bruxelles Mobilité qui avait sonné l’alerte en évoquant un risque de chute de la dalle. En béton et de faible épaisseur, les dalles qui forment les toitures des tunnels Bailli et Vleurgat sont fragiles et la rupture d’un câble peut déboucher sur un risque d’effondrement immédiat, sans signes avant-coureurs. «Les câbles de précontrainte présentent des traces de corrosion avancée et les bétons dans lesquels ils sont noyés présentent des concentrations en chlorures (agents pathogènes entraînant la corrosion) très élevées, de même qu’une profondeur de carbonatation (phénomène accélérant la corrosion) dépassant les câbles. Cette corrosion avancée affaiblit les câbles et entraîne dès lors un risque important d’effondrement», indique la ministre bruxelloise de la Mobilité Elke Van den Brandt (Groen) dans une note au gouvernement.

Pour l’opération d’étançonnage, Bruxelles-Mobilité fait le choix de recourir à la procédure négociée sans publication, avec la motivation suivante: «Le risque d’effondrement des toitures et de rupture des câbles de précontrainte est aigu. Il y a donc lieu de maîtriser ces risques dans les plus brefs délais afin de préserver la sécurité des usagers et usagères.»

«On nous avait annoncé un plan à long terme, tout allait bien Madame la Marquise. Aujourd’hui, on apprend qu’il faut réaliser des travaux de sécurisation en urgence et brûler des millions d’euros non budgétés cette année. Donc non, la situation n’est pas sous contrôle. Je suis abasourdi de constater que le gouvernement bruxellois flirte ainsi avec le danger au détriment de la sécurité des usagers qui n’est visiblement pas garantie», a réagi le chef de groupe MR au parlement bruxellois DavidLeisterh.

Lire l’article en entier : https://www.lecho.be/economie-politique/belgique/bruxelles/bruxelles-un-risque-d-effondrement-dans-les-tunnels-vleurgat-et-bailli/10455792.html

 

Axer les formations vers les métiers en pénuries

Sur LN24, j’ai souligné l’importance d’axer les formations vers les formations en pénurie. En effet, à Bruxelles, il y a 85.000 demandeurs d’emploi et 113 métiers en pénurie. J’estime qu’il y a un match à créer entre ces métiers en pénurie et les demandeurs d’emploi par le biais de la formation.

Plusieurs des métiers en pénurie exigent une formation longue, mais d’autres, comme l’Horeca ou plusieurs métiers techniques, demandent une formation plus courte.

Quand on regarde la Belgique, on observe une grande différence entre la Flandre qui connait les mêmes métiers en pénurie que Bruxelles et la Wallonie mais un taux d’emploi beaucoup plus élevé. On doit regarder ce qu’il se fait là-bas et s’en inspirer pour remettre davantage de demandeurs d’emploi au travail.

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Commission Uber : Le vente tourne

Alors que la commission Uber a été créée pour déterminer les potentiels rôles d’influence exercés par Uber à Bruxelles, certains réseaux de taxis n’auraient pas été en reste.

Leur immixtion jusqu’aux plus hautes sphères du pouvoir bruxellois a été révélée aujourd’hui en commission par Monsieur Ed-Denguir (Président de la FEBET). Ce dernier parle de confusion entre « lobbying » et « clientélisme politique » de la part de certains réseaux de taxi.

David Weytsman, Vice-Président de la Commission Mobilité, : « Le Gouvernement a fait toutes les erreurs : laisser pourrir la nécessaire réforme, laisser 1000 chauffeurs LVC sur le carreau, défendre des intérêts corporatistes contre l’intérêt général ainsi que la mobilité et les clients bruxellois, accentuer le manque de concertation entre les acteurs du taxi, tout cela en découvrant une collusion entre le secteur taxi et certains responsables politiques. ».

David Leisterh, Président du MR bruxellois et chef du groupe MR au parlement bruxellois : « Dans ce contexte, nous demandons la réaudition urgente de Sam Bouchal, Président de BTC afin de faire toute la clarté sur les pratiques d’influence et l’intensité du corporatisme qui a bloqué la réforme Taxi depuis plusieurs années. Pour le MR, la priorité a toujours été d’accepté des mesures visant à faire du secteur du transport rémunéré de personnes, un pilier de la mobilité au service de l’ensemble des Bruxellois. »

Friche Josaphat : Ecolo-Groen s’inspire des bleus pour faire du vert !

Par les voix de David Leisterh et Gaëtan Van Goidsenhoven, respectivement chef de groupe et député de la commission de développement territorial du Parlement bruxellois, le groupe MR dénonce le double discours d’ECOLO sur le dossier emblématique de la friche Josaphat et la tentative de passage en force du PS. La tentative de passage en force du PS en vue de lotir une partie de la friche est à la fois brutale et déloyale car elle remet en cause la démarche globale du PAD tout en imposant une politique du fait accompli visant à refermer le débat sur les objectifs de préservation de la biodiversité. Nous craignons que le conflit frontal entre PS et Ecolo n’aboutisse qu’à des conséquences particulièrement négatives pour la qualité de vie des Bruxellois.

« La Déclaration de politique générale de la majorité bruxelloise PS-ECOLO de 2019 prévoit que des arbitrages devront être trouvés pour concilier la construction de logements et la préservation de la biodiversité sur les grands sites stratégiques, explique David Leisterh, chef de groupe et président du MR bruxellois. Tout le monde savait déjà à ce moment que la friche Josaphat était le site symbolique par excellence qui cristallisait les tensions sur ces enjeux. Or, cela fait désormais près de 4 ans et nous n’avons jamais vu ECOLO proposer concrètement quelque chose pour le site ».

Son collègue Gaëtan Van Goidsenhoven, qui suit le dossier de la friche depuis près de 10 ans, avait d’ailleurs travaillé sur une solution alternative, en défendant à l’été 2021 une proposition de résolution visant à créer une réserve naturelle sur la partie ouest de la friche, tout en permettant le développement mesuré de logements sur les parties les moins intéressantes du point de vue de la biodiversité. « Alors que ce texte se voulait constructif et pouvait être débattu démocratiquement au sein du Parlement bruxellois, il fut balayé d’un revers de la main par les partenaires écologistes ! » s’irrite Gaëtan Van Goidsenhoven. On nous promettait alors qu’une solution serait trouvée au Gouvernement et qu’un texte parlementaire était dès lors inutile. Nous voyons bien le résultat : le dossier est complètement bloqué et est reporté chaque semaine lors de l’ordre du jour du gouvernement depuis juillet 2022 ! ».

Les députés libéraux jugent cette attitude irresponsable du point de vue de la gouvernance publique : « Des centaines de milliers d’euros ont déjà été dépensés pour les différents projets de Perspective, de la Société d’aménagement urbain, de Citydev et de la SLRB, ainsi que pour la mise en œuvre du dialogue compétitif avec les partenaires privés pour la réalisation des travaux sur le site, sans parler des concertations inter-cabinets, des dialogues avec les communes de Schaerbeek et d’Evere et des multiples discussions parlementaires sur le sujet » expliquent-ils. Aujourd’hui, alors qu’ECOLO n’a jamais défendu aucune proposition alternative concrète, ils envoient soudainement leurs co-présidents déclarer qu’il ne faut plus rien construire du tout sur la friche ! ».

« La proposition de création d’une réserve naturelle que Gaëtan Van Goidsenhoven et mon groupe ont défendue agit comme un premier électrochoc sur ECOLO, qui se désintéressait jusqu’alors complètement de cette question cruciale de la présence de la nature en ville », rajoute David Leisterh.

Le groupe MR réclame que ce dossier puisse être débloqué rapidement au profit de la qualité de vie des Bruxellois, en réexaminant les pistes de solutions qu’ils avaient eux-mêmes défendus concrètement dès 2021.

Le MR recale le plan Good Living

Si le MR Bruxelles accède à la majorité régionale en 2024, nous nous engageons à annuler le futur règlement d’urbanisme s’il reste en l’état.

« Un plan inapplicable”

« Le problème de l’actuelle RRU, trop strict et entraînant des dérogations systématiques, est bien connu. Mais on n’est pas obligé de faire le grand écart et de faire reposer un règlement sur des principes flous comme la “densification équilibrée” ou le “respect de la scénographie urbaine”, explique Gaëtan Van Goidsenhoven.

David Leisterh complète : « On va aller vers un urbanisme de l’opposition systématique où tout sera contestable puisqu’il n’y a pas de règles. Cela met les promoteurs dans une position d’incertitude. Nous avons donc peur que le secteur en pâtisse et avec lui, l’emploi« .

Geoffroy Coomans souligne enfin que « sur les gabarits, aucune limite claire n’est indiquée pour les bâtiments les plus larges« . Le MR veut proposer un système de “cônes de vue protégée” pour épargner les perspectives remarquables de Bruxelles comme la vue sur la Cathédrale ou le Palais de justice par exemple. “On ne veut pas d’un urbanisme réglementé au doigt mouillé.”

Des règles trop restrictives

Certaines règles du texte en débat sont trop restrictives et dogmatiques. En effet, la majorité prévoit qu’en voirie publique, la surface de pleine terre végétalisée représente au moins 10 % de la superficie de cette voirie. Or, selon Vincent De Wolf, « il n’est pas fait mention des rues ou le bâti est ancien, très implanté dans certains quartiers. Faciliter l’infiltration de l’eau dans le sol est une bonne chose, mais dans certains endroits, cela peut endommager le bâti”.

Stationnement : des imprécisions

On fixe des objectifs de réduction de place de stationnement sans même connaître la situation exacte à Bruxelles. La fin du stationnement en épi concernera à terme 13 000 places. Certaines communes seront plus impactées comme Koekelberg pour laquelle ce type de stationnement représente 19 % des emplacements de parking. Quelles compensations sont prévues ?” s’interroge Anne Charlotte d’Ursel.

 

Retrouvez l’article complet de la DH.

Fonction publique : un meilleur contrôle des résultats

Sur LN24, j’ai défendu l’idée d’un service public mieux controlé pour plus d’efficacité, notamment pour les hauts fonctionnaires.

Quels résultats ?

Il faut une véritable évaluation du résultat produit par le haut responsable d’une instance publique. Certains hauts fonctionnaires gagnent un salaire élevé alors que les résultats de l’instance publique ne sont pas à la hauteur qu’ils devraient être.

On doit évidemment se concentrer sur le montant des salaires, un débat doit avoir lieu. Mais il ne faut pas oublier la culture des résultats. Les instances publiques bruxellois conditionnent la vie de 1.200.000 Bruxellois

L’opposition présente dans les CA des OIP

Enfin, toujours concernant la transparence de la fonction publique, il est primordial d’ajouter les partis de l’opposition dans les CA des Organismes d’Intérêt Public. Le MR est dans l’opposition depuis 20 ans. Autrement dit, depuis 20 ans, le MR apprend par la presse ce qu’il se passe dans les hautes instances des organismes publics. Cette donnée doit changer.

La méthode de la gauche ne fonctionne pas

La gauche, à Bruxelles, a créé une série d’organismes publics, parapublics, eux-mêmes contrôlés en interne par je ne sais combien de personnes, dont l’efficacité peut être remise en question. C’est la technique classique de la gauche à Bruxelles. Si ça ne fonctionne pas, on subventionne une ASBL. Si ça ne fonctionne toujours pas, on donne un kicker à cette ASBL. Toutes ces actions résultent en une perte d’argent public, votre argent qui mérite d’être utilisé correctement.

 

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L’emploi doit être le moteur du redéploiement à Bruxelles

En termes de taux de chômage, Bruxelles est la 221e région sur 257 en Europe. Quand on est la capitale de l’Europe, on doit avoir vocation à être beaucoup plus haut dans ce classement !

L’emploi doit être le moteur du redéploiement à Bruxelles. Il n’est pas acceptable qu’Actiris identifie 83.000 métiers inoccupés alors qu’il y aurait 86.000 demandeurs d’emploi. Nous avons des propositions claires et évidentes qui doivent aider à augmenter le taux d’emploi et le nombre de formations à Bruxelles. Parmi celles et ceux qui peuvent aussi aider à créer de l’emploi à Bruxelles, il y a les indépendants de notre région. Pourtant, ils ont connu tellement d’obstacles ces dernières années : tunnels, attentats, Ukraine, inflation, Covid une fois, Covid deux fois et puis Good Move, le plantage de cette législature. Nous avons demandé une commission spéciale pour aider, depuis Bruxelles, tous ces créateurs d’emploi. Les finances bruxelloises sont de plus en plus dans le rouge. Diminuer le taux de chômage et oser des réformes structurelles sont la clé pour retrouver une base saine dans une Région, Bruxelles, dont beaucoup rêveraient d’avoir le nom.

Plus d’infos

Budget : un déficit et une dette qui se creusent

Depuis 2016, les chiffres sont de plus en plus inquiétants. En moins de 10 ans, la dette a triplé : elle atteint près de 13 milliards d’euros 📉. Sans grande surprise, la dette d’aujourd’hui sont les taxes de demain. La clef du succès pour répondre à cette problématique ? L’emploi, en intégrant au mieux les entreprises car c’est plus de 83 000 métiers qui sont inoccupés alors qu’il y a 86 000 demandeurs d’emploi. Pour rencontrer cet enjeu, il faut fixer un cap et changer de méthode. Nous avons des réformes concrètes sur la table !

Un déficit et une dette qui se creusent

En 2016, le Gouvernement bruxellois hors emprunts, hors amortissements recevait plus ou moins 4,1 milliards d’euros et dépensait plus ou moins 4,25 milliards. Le déficit à la fin de l’année est donc de 150 millions. Malheureusement, ce déficit se creuse au fur et à mesure des années.
2017 : 200 millions €
2018 : 600 millions €
2019 : 1.000 millions €
2020 : 1.200 millions €
2021 : 1.700 millions €
2022 : 2.000 millions €
En d’autres termes, le Gouvernement bruxellois a dépensé en 2022 2 milliards en plus que ce qu’il ne recevait. Ces déficits réguliers provoquent un emballement de la dette. Bruxelles passerait d’une dette en 2016 de 4,7 milliards à 13 milliards en mai 2024.

Quelques pistes de solutions

Pour David Leisterh, il existe plusieurs pistes de solutions pour tenter d’améliorer les finances bruxelloises. Premièrement, le Chef de groupe au Parlement bruxellois recommande l’utilisation de spending review. Ensuite, via Optiris, il faut rationnaliser la machine administrative bruxelloise qui est devenue trop volumineuse. Enfin, la politique des subsides doit être contrôlée. Certains subsides sont correctement calibrés, contrairement à d’autres. La politique des subsides est passée de 200 à 800 millions d’euros en quelques années. 800 millions, c’est le budget d’Actiris.
« La confiance des Bruxellois, elle se gagne, et elle se gagne durement. Elle nous a été donnée à toutes et tous ici, au Parlement bruxellois, et nous devons en être dignes. Nous, les libéraux, nous estimons que quand on s’appelle Bruxelles et qu’on est la capitale de l’Europe, on se doit de montrer l’exemple.« 

Tolérance zéro envers les personnes qui attaquent les policiers

Ces derniers jours, plusieurs actes de violence ont été commis à Bruxelles (violence rue Lemonnier, attaques multiples au couteau, etc.). J’en parlais dans l’émission « Premier sur l’info » de LN24 à retrouver ici.

La politique a un rôle à jouer

Les politiques doivent instaurer une approche politique publique très ciblée sur certains quartiers où on sait qu’il y a un taux de précarité, de désœuvrement qui est élevé depuis de nombreuses années, qui peut mener parfois à un sentiment d’insécurité ou à des faits d’insécurité qui sont de plus en plus lourds.
La responsabilité du Gouvernement bruxellois est écrasante en la matière. On ne peut pas constater que ça se passe mal dans certains quartiers depuis parfois 10, 20 ans, et en parallèle, ne pas également constater qu’on n’y a pas apporté les politiques de cohésion sociale efficaces pour éviter cela. Il existe des tas de villes qui ont connu des quartiers à forte difficulté, comme on le connaît maintenant à Bruxelles, et qui ont appliqué en fait une recette en trois ingrédients :
1. Une justice très forte avec une sécurité renforcée.
2. Une approche de cohésion sociale extrêmement puissante autour de l’école, avec aussi des éléments de formation professionnelle, d’insertion professionnelle, de création sur l’emploi.

3. Une rénovation urbaine. Faire du beau là où ça n’est pas beau. Faire une politique similaire à celle de New-York de l’“anti broken window” (anti vitres brisées). Lorsque quelque chose ne se passe pas bien, il faut rénover afin de maintenir une belle ambiance, dans une belle atmosphère.

Tolérance zéro

D’autre part, nous souhaitons instaurer la tolérance zéro envers les personnes qui attaquent les policiers. Il est inenvisageable de concevoir une ville où les crimes envers la police restent impunis.

Notre groupe veut être le réveil matin du Gouvernement

Ce samedi matin, David Leisterh, député bruxellois et président du MR Bruxelles, a été désigné chef de groupe du MR au Parlement bruxellois.

Tout d’abord, je tiens à remercier Georges-Louis Bouchez pour sa confiance. J’aurai à cœur de travailler en équipe, avec tous les députés, pour faire progresser notre parti à Bruxelles.

Je souhaite aussi saluer le travail accompli ces dernières années par Alexia Bertrand, souligne le nouveau chef de groupe. Si nous sommes aujourd’hui la première force de proposition en matière d’emploi, de formation, de propreté, d’isolation du bâti, de simplification administrative,… c’est grâce au travail qu’elle a entamé.

Je suis heureux de travailler avec une équipe forte, rajeunie et pleinement engagée pour Bruxelles. Nos députés ont pleinement démontré leur capacité à maîtriser les dossiers et à se battre pour les Bruxellois.

Notre groupe veut être le réveil matin du Gouvernement: nous faisons face à un exécutif amorphe, qui n’est pas à la hauteur des enjeux majeurs que nous vivons aujourd’hui. Notre groupe va les marquer à la culotte pour exiger de meilleurs résultats pour les Bruxellois. Nous poursuivrons notre approche constructive en déposant des propositions.

Nous sommes à la veille de débats budgétaires où la Cour des comptes rappelle que l’endettement bruxellois s’affole. Mais surtout, nous sommes à un an et demi des élections de 2024. Nous avons les yeux rivés vers cet objectif: convaincre les Bruxellois que l’on peut changer de cap et engranger des résultats visibles pour améliorer leur quotidien. Nous avons les plus grandes ambitions pour Bruxelles !

Félicitations également à David Weytsman qui rejoint le Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles et à Alain Van der Elst qui devient député !