Pour LN24, je reviens sur deux sujets forts de l’actualité : la Friche Josaphat et Good Move. Pour le premier, je regrette le choix du Gouvernement bruxellois de vouloir supprimer un pan de la biodiversité bruxellois. Pour le second, Good Move a manque de méthode et de talent. Le Gouvernement a créé des quartiers enragés, et non apaisés.
Friche Josaphat : préserver la biodiversité
Au lendemain des marches pour le climat, le Gouvernement bruxellois nous avait promis de la verdurisation. À la place, on a vu naître des blocs de béton et puis, maintenant, des murs de béton sur la Friche Josaphat. Or, cette Friche a été reconnue par des scientifiques comme un lieu ayant une haute valeur biologique.
De plus, plusieurs enquêtes publiques concluent leur rapport en expliquant que le projet amener par le Gouvernement bruxellois (construire des logements sur cette Friche), n’est pas le projet souhaité par les habitants du quartier.
Depuis le début de ce dossier, le MR a été proactif en déposant un texte pour préserver cette espace de biodiversité. Avec Gaëtan Van Goidsenhoven, le MR Bruxelles demande qu’une partie de la Friche devienne une réserve naturelle. Nous estimons qu’il existe d’autres espaces prêts à être réhabiliter pour accueillir de nouveaux logements (gare du Midi, zone du Canal, Marina, etc.).
Good Move : ni talent, ni méthode
La philosophie de Good Move est, sur papier, bonne : moins d’embouteillages, moins de pollution. Toutefois, le Gouvernement bruxellois n’y a mis ni talent, ni méthode. Bruxelles a perdu 5 ans. Bruxelles est encore plus en retard en termes de mobilité. Au lieu d’avoir des quartiers apaisés, on se retrouve avec des quartiers enragés.
Sur les 20 dernières années, c’est à peine une quinzaine de kilomètres de lignes de tram, métro et bus en plus. Il faut également une plus grande concertation lorsque vous impactez les quartiers en termes de mobilité. Au moins 50% du quartier doit être consulté.
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Sur LN24, j’ai défendu l’idée d’un service public mieux controlé pour plus d’efficacité, notamment pour les hauts fonctionnaires.
Quels résultats ?
Il faut une véritable évaluation du résultat produit par le haut responsable d’une instance publique. Certains hauts fonctionnaires gagnent un salaire élevé alors que les résultats de l’instance publique ne sont pas à la hauteur qu’ils devraient être.
On doit évidemment se concentrer sur le montant des salaires, un débat doit avoir lieu. Mais il ne faut pas oublier la culture des résultats. Les instances publiques bruxellois conditionnent la vie de 1.200.000 Bruxellois
L’opposition présente dans les CA des OIP
Enfin, toujours concernant la transparence de la fonction publique, il est primordial d’ajouter les partis de l’opposition dans les CA des Organismes d’Intérêt Public. Le MR est dans l’opposition depuis 20 ans. Autrement dit, depuis 20 ans, le MR apprend par la presse ce qu’il se passe dans les hautes instances des organismes publics. Cette donnée doit changer.
La méthode de la gauche ne fonctionne pas
La gauche, à Bruxelles, a créé une série d’organismes publics, parapublics, eux-mêmes contrôlés en interne par je ne sais combien de personnes, dont l’efficacité peut être remise en question. C’est la technique classique de la gauche à Bruxelles. Si ça ne fonctionne pas, on subventionne une ASBL. Si ça ne fonctionne toujours pas, on donne un kicker à cette ASBL. Toutes ces actions résultent en une perte d’argent public, votre argent qui mérite d’être utilisé correctement.
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Sur BX1, j’ai fait le point sur différents sujets d’actualité. Il revient notamment sur le service citoyen obligatoire et les raisons pour lesquelles le MR doit être le premier parti en 2024.
Le MR, 1er parti en 2024, pour redresser Bruxelles
Le MR est dans l’opposition depuis 20 ans, et cela se ressent.
- Bruxelles a un des taux de chômage les plus élevés d’Europe
- Bruxelles a un des taux de pauvreté les plus élevés d’Europe
- 40.000 personnes et 3.000 entreprises quittent Bruxelles chaque année
- Bruxelles, c’est un communautarisme de certains qui brise le vivre ensemble que devrait être cette région aux 183 nationalités
- Bruxelles a malheureusement une mobilité imaginée par des donneurs de leçons et faite de bloc de béton qu’on a appelée good move
- Bruxelles, c’est une crise budgétaire où la dette a triplé en 10 ans et où le déficit est passé de 150 millions à 2 milliards
Les Bruxellois veulent une autre alternative. Et pour cela, nous abattons un travail de terrain depuis plus d’un an. Nous sommes tous les week-ends et en semaine aussi, dans la rue à frapper aux portes, à aller sur les marchés pour convaincre de l’idéologie libérale.
Un service citoyen obligatoire pour aider les jeunes
À Bruxelles, il existe des quartiers où des jeunes ont connu leurs parents et leurs grands-parents qui cherchaient un emploi, qui voulaient sortir de cette situation mais ne trouvaient pas la porte.
Le service civil obligatoire est une des solutions. Dans un monde de mondialisation où justement, on cherche à rencontrer le monde dans son ensemble, il faut d’abord qu’on apprenne à se connaître soi-même, à découvrir un maximum de ses passions, de ses opportunités.
Le service citoyen actuel n’est pas suffisant, il n’y a qu’entre 500 et 1000 personnes d’inscrites. Pour David Leisterh, il faut implémenter ce service via une activité en deux temps. D’abord nous voulons que des jeunes venus de toute la Belgique se retrouvent pour une période de tronc commun pendant laquelle nous organiserons des débats et différents ateliers autour de la citoyenneté. Ensuite, nous offrirons aux jeunes la possibilité de rejoindre différents organismes tels que des ASBL, des entreprises, des acteurs sportifs, ou encore des CPAS et le secteur social.
Voir ou revoir l’émission de BX1
Un des moyens de réponse face aux récents épisodes de violence
On se le rappelle, Bruxelles a connu plusieurs faits de violence fin 2022 (émeutes après Belgique-Maroc, violences envers la police). face à ces hausses et à cette répétition d’épisodes violents, le MR se tourne vers le service citoyen obligatoire, notamment sur Bruxelles.
Il existe déjà un service citoyen en Belgique, mais il est peu connu et sous-financé. En Région bruxelloise, le budget qui y est consacré n’a pas évolué depuis sept ans et ne permet de le proposer qu’à 118 jeunes par an. A tire de comparaison, il concerne 140 000 jeunes par an en France, 40 000 en Allemagne, 40 000 en Italie…
Trouver sa voie
En 2022, c’est près de 120 jeunes bruxellois qui ont fait le choix de s’engager dans un service citoyen. Grâce à l’octroi d’un subside de 40.000 euros, ils ont pu, six mois durant, « s’engager dans des projets utiles à la collectivité.
La mise en place d’un tel service à Bruxelles d’abord fait sens et servirait d’exemple. Bruxelles reste un laboratoire pour la Belgique en raison de son statut de grande ville. Automatiquement, il y a un effet loupe, un effet grossissant sur certaines problématiques. Il y a une érosion du respect de l’autorité au sens large, que ce soit vis-à-vis de la police, des services de secours, des pompiers, de la justice…. Les évènements, les faits divers et l’actualité brûlante à Bruxelles que l’on a connus ces derniers mois en témoignent malheureusement. Il y a une difficulté de plus en plus grande à se retrouver sur un socle commun de valeurs qui fonde la cohésion sociale.
Invité sur LN24, j’ai pu rappeler mon attachement à la mesure de l’actionnariat salarié. Je suis convaincu que la relance passera par des salariés intéressés financièrement à l’avancement de leur entreprise.
Deux constats
1. Les employeurs, les entreprises craignent ou subissent déjà la crise et la récession économique.
2. Les employés ont peur de perdre du pouvoir d’achat et craignent des pertes d’emploi.
Nous proposons un nouveau paradigme
1. Il est temps d’arrêter d’opposer patrons et salariés, le combat est le même : relancer la machine, relancer l’économie, sauver les entreprises, sauver les emplois et placer la Belgique en tête de peloton de la relance.
2. Ce combat, il n’est pas uniquement celui des patrons pour sauver leur boite. Il est aussi celui des salariés pour sauver leur emploi. L’union entre les deux doit être couronnée de succès.
3. Mais aujourd’hui, elle ne l’est parfois pas suffisamment. Elle n’est du moins pas assez solide, chacun défendant parfois uniquement ses propres intérêts alors que l’objectif doit être commun. L’union nationale employeurs-employés est une des clés de la relance du pays.
4. Reconnaissons que les salariés ne se sentent souvent solidaires que des pertes : à savoir, ils perdent leur emploi quand la boite va mal mais gagnent rarement plus quand elle va bien. Demain, je propose que tous, de cadres à personnel exécutant soient aussi davantage solidaires des victoires de l’entreprise pour laquelle ils travaillent. L’histoire a durablement considéré qu’il fallait solidariser les pertes, aujourd’hui nous disons: il faut solidariser les gains
Lancer l’action populaire
1. Il s’agit concrètement de faire en sorte que les salariés puissent recevoir une partie des bénéfices et progressivement entrer dans le capital de l’entreprise, via plusieurs formes. En réalité, il s’agit de faire en sorte que tous les salariés y aient accès, le cadre mais aussi le caissier du supermarché : intéresser financièrement le salarié à l’avancement de son entreprise.
2. De Gaulle en parlait déjà. Warren Buffett l’a implémenté. Beaucoup y sont favorables et une base légale existe mais tout ça ne fonctionne que très peu.
Une résolution vient d’être déposée au Parlement fédéral par Denis Ducarme pour faciliter cet outil. Il faut vite la voter et l’implémenter !
Retrouvez l’intégralité de l’interview de LN24
Pour BX1, j’ai donné une interview en long et en large sur différentes thématiques : énergie, Good Move, logements sociaux, situation financière des communes, etc.
Energie : une contribution de crise de la part des opérateurs
Pour diminuer la facture des ménages, de nombreuses choses sont encore à faire. Nous demandons une contribution de crise de la part des opérateurs qui font de gros bénéfices. Il faut développer une législation pour capter ces bénéfices et pouvoir les reverser dans les factures des ménages et des entreprises.
Concernant l’isolation du bâti bruxellois, Bruxelles est en retard. Rénolution est une bonne démarche mais ce plan est arrivé tardivement, avec trop peu de moyens. De plus, ce plan est compliqué à comprendre. « Il faut avoir un Bac +4 pour comprendre ce à quoi on a droit en tant que citoyen« .
Enfin, le MR Bruxelles estime qu’il faut prévoir des glissements de dépenses régionales (par exemple, les dépenses de fonctionnement trop volumineuses) pour aider les ménages et les entreprises durant cette crise.
Good Move : aucune méthode ni de concertation
Le MR défend complètement la philosophie « Moins de pollution, moins d’embouteillages, moins de congestions et moins de trafic de transit ». C’est la mise en œuvre qui laisse à désirer. Good Move est un projet bâclé qui crée beaucoup d’opposition par manque de concertation !
Pour demander aux gens de passer vers une mobilité plus douce, il faut remplir l’autre parti du contrat qui est notamment le développement des transports en communs.
Financer le métro Nord par le privé
Nous sommes favorables à l’expansion du réseau des transports en communs bruxellois. C’est pourquoi, concernant le financement du métro nord, nous recommandons de faire appel au privé et de le privatiser. Si la privatisation permet aux gens de plus utiliser les transports en communs, nous sommes pour. Toutefois, cette privatisation doit se faire dans un cadre légal extrêmement précis, strict et défini.
Privilégier les AIS au lien de construire de nouveaux logements
La politique de construction de logements pour pallier au manque de logements sociaux n’est pas la bonne approche à adopter. La construction de nouveaux logements ne permet pas de diminuer rapidement le nombre de personne en attente d’un logement social.
Pour répondre à cette problématique rapidement, il faut booster les AIS (Agence Immobilière Sociales) et augmenter les allocations de loyers.
Impôts communaux
La plupart des communes bruxelloises sont face à un problème de taille : leurs dépenses. Boucler un budget devient malheureusement de plus en plus problématique pour les communes.
Une solution, qui relève de la Région, est d’augmenter le taux d’emploi. En effet, une partie des impôts des gens qui travaillent remonte aux communes. Par conséquent, lorsque vous avez un taux d’emploi trop faible/un taux de chômage trop élevé, les communes reçoivent moins d’argent.
Retrouvez l’interview de BX1
Pour la DH, je dresse plusieurs constats et me positionne sur différents faits d’actualité. sur Bruxelles. J’observe avec intérêt la progression du Mouvement Réformateur à Bruxelles.
Quelques extraits ci-dessous.
Selon un récent sondage, le MR serait 2e parti à Bruxelles. « Notre travail de terrain paie », analyse le président du MR bruxellois David Leisterh dans la DH. « Nous avons renouvelé la quasi-totalité de nos cadres à Bruxelles. La clé est de maintenir l’esprit collectif et de faire connaître ces nouveaux cadres dans les communes où nous avons été moins présents ces dernières années. Je suis optimiste ».
David Leisterh se définit avant tout comme le président d’une équipe et comme le responsable d’un projet. Il se réjouit de pouvoir travailler avec des personnalités de qualité comme Sophie Wilmès, Alexia Bertrand, Valérie Glatigy, Boris Dilliès ou Vincent De Wolf. « Nous sommes une équipe, nous privilégions le collectif », explique-t-il à la DH. « Notre objectif est de remporter la coupe, pas de savoir qui portera cette coupe », explique le député bruxellois qui ne revendique rien à titre personnel et qui salue l’action du président Georges-Louis Bouchez, dont la visibilité médiatique rejaillit sur le MR à Bruxelles.
Pour David Leisterh, Bruxelles a besoin d’une grande force de centre-droit. « Nous, les libéraux, on se sent parfois un peu seul. Défi se rapproche parfois de nos thèses mais est malheureusement dans une coalition de gauche et Les Engagés sont un peu plus en difficulté. Nous ouvrons nos portes pour des projets libéraux, dans chaque commune. Si certains veulent nous rejoindre, la porte est grande ouverte ». David Leisterh voit par contre d’un mauvais œil le projet bruxellois de la N-VA.
David Leisterh évoque quelques faits d’actualité, comme le plan de mobilité Good Move. « A Anderlecht, le projet a été bâclé », explique-t-il. « Je n’ai pas entendu de riverains dire qu’ils étaient contre le fait qu’il fallait moins de pollution, qu’il ne fallait pas aérer le quartier. La réaction virulente de certains habitants est, selon moi, une réaction à un forme de mépris voire une certaine arrogance exprimée par certains échevins en charge de la Mobilité, qui ne veulent pas entendre que leur plan est mal réalisé, mal agencé. Si l’on veut vraiment apaiser la ville, il faut le faire avec talent et méthode ».
Le MR défend une autre approche, qui doit d’abord passer par la concertation et une vision plus globale des quartiers « On n’améliore pas la mobilité en plaçant des blocs de béton », constate David Leisterh. « Il faut ensuite investir dans les alternatives à la voiture avant de l’interdire. Le taux de couverture de la Stib a très peu évolué ces 20 dernières années. Faisons appel au secteur privé via des contrats de gestion. Madrid, Barcelone, Copenhague l’ont fait, cela fonctionne ». Enfin, le président du MR bruxellois estime que Bruxelles doit s’ouvrir aux nouvelles technologies. La majorité actuelle est trop frileuse face à Uber, aux voitures partagées…
David Leisterh s’inquiète de la dette bruxelloise, qui pourrait atteindre 15,2 milliards en 2027, soit 6 milliards de plus qu’en 2022. « C’est très inquiétant. On a parlé du métro sous-financé, d’autres évoquent un problème pour le paiement des allocations familiales. Comment le gouvernement bruxellois va-t-il pouvoir aider ses commerçants, ses indépendants ? Nous constatons que, progressivement, Bruxelles entre dans une sorte de désert économique », déplore-t-il.
Si le MR revient au pouvoir en 2024, David Leisterh s’engage à mettre en place un écosystème vertueux autour des écoles. « On y trouvera une antenne Actiris, une antenne de Bruxelles Formation, une crèche, des entreprises, etc. Et nous mettrons tout le monde en relation, en interactions. Ceci dans les 10 quartiers au taux de chômage le plus élevé. Dans le même temps, nous rénovons ces quartiers. Ce n’est qu’en sauvant ces déserts sociaux qu’on fera rayonner Bruxelles », explique-t-il.
En matière d’emploi et de formation, le MR soutient le projet de fusion d’Actiris et de Bruxelles-Formation. Le MR bruxellois veut aller plus loin en offrant aux entreprises ou groupements d’entreprises l’opportunité de former elles-mêmes leur personnel. « Si ça marche et que le taux d’emploi s’en ressent, l’entreprise obtient un agrément et devient entreprise formatrice. Une partie du coût de la formation serait prise en charge par les pouvoirs publics. À la fin du cursus, le stagiaire est alors embauché par l’entreprise. La France a mis ce processus en place, avec un grand succès : + 40 % de formations en deux ou trois ans », conclut David Leisterh.
Interview complète de la DH
Sur BX1, j’ai expliqué pourquoi la limitation de l’indexation des loyers est une mauvaise idée : PEB différent, lenteur administrative, etc.
Un PEB différent et des une lenteur administrative
Les normes pour le PEB sont plus strictes à Bruxelles qu’en Flandre et qu’en Wallonie. Pour un même bien, le PEB sera moins bon de 2 ou 3 notes à Bruxelles.
De plus, il faut trois fois plus de temps pour avoir un permis à Bruxelles, ce qui freine les ardeurs des propriétaires. La main d’oeuvre est également de plus en plus rare car, parmi les 134 métiers en pénurie, bon nombre proviennent du secteur de la construction. Il faut activer la formation et l’emploi pour, ensuite, avoir la main d’oeuvre qualifiée pour rénover.
Cohabitation : qui prend en charge la rénovation ?
La mesure souhaitée par le Gouvernement bruxellois ne répond pas à tous les cas qui peuvent se présenter. Exemple : si un propriétaire détient un bien situé au dernier étage d’un immeuble, que la principale source de déperdition d’énergie provient du toit, et que les autres copropriétaires (des autres appartements dans l’immeuble) ne veulent pas rénover le toit, la situation est délicate. Le premier propriétaire se retrouve dans l’incapacité de rénover.
Les propriétaires ne sont pas tous des riches entrepreneurs investisseurs
Il existe beaucoup de petits propriétaires. Dire que les propriétaires sont tous des riches entrepreneurs est une image dangereuse à renvoyer. Pour info, à peine 25% des propriétaires indexent leur loyer.
Ayant la chance d’être Président de CPAS, j’assiste à des profils variés. Dans la même heure, vous pouvez avoir un citoyen en difficulté de payer son loyer trop élevé, et, un propriétaire dont la principale ressource est justement un des loyers qui n’est pas payé par le locataire. Pour la même situation, vous pouvez avoir deux précaires.
Retrouvez l’interview complète ICI.