Un service citoyen obligatoire pour les jeunes

Nous voulons instaurer le service citoyen obligatoire pour les jeunes. Il s’agirait d’un des moyens de réponse face aux récentes épisodes de violence. Ce service serait également une possibilité pour les jeunes de trouver leur voie.

En Allemagne et en France, 140.000 et 40.000 jeunes participent respectivement au service citoyen. Le service citoyen, différent du service civil, est un programme pour les jeunes de 18 à 25 ans qui sont prêts à s’engager, pendant 6 mois, dans le projet solidaire de leur choix.

Un des moyens de réponse face aux récents épisodes de violence

On se le rappelle, Bruxelles a connu plusieurs faits de violence fin 2022 (émeutes après Belgique-Maroc, violences envers la police). face à ces hausses et à cette répétition d’épisodes violents, le MR se tourne vers le service citoyen obligatoire, notamment sur Bruxelles.

Il existe déjà un service citoyen en Belgique, mais il est peu connu et sous-financé. En Région bruxelloise, le budget qui y est consacré n’a pas évolué depuis sept ans et ne permet de le proposer qu’à 118 jeunes par an. A tire de comparaison, il concerne 140 000 jeunes par an en France, 40 000 en Allemagne, 40 000 en Italie…

Trouver sa voie

En 2022, c’est près de 120 jeunes bruxellois qui ont fait le choix de s’engager dans un service citoyen. Grâce à l’octroi d’un subside de 40.000 euros, ils ont pu, six mois durant, « s’engager dans des projets utiles à la collectivité.

La mise en place d’un tel service à Bruxelles d’abord fait sens et servirait d’exemple. Bruxelles reste un laboratoire pour la Belgique en raison de son statut de grande ville. Automatiquement, il y a un effet loupe, un effet grossissant sur certaines problématiques. Il y a une érosion du respect de l’autorité au sens large, que ce soit vis-à-vis de la police, des services de secours, des pompiers, de la justice…. Les évènements, les faits divers et l’actualité brûlante à Bruxelles que l’on a connus ces derniers mois en témoignent malheureusement. Il y a une difficulté de plus en plus grande à se retrouver sur un socle commun de valeurs qui fonde la cohésion sociale.

 

Revaloriser le travail

Invité sur LN24, j’ai pu rappeler mon attachement à la mesure de l’actionnariat salarié. Je suis convaincu que la relance passera par des salariés intéressés financièrement à l’avancement de leur entreprise.

Deux constats

1. Les employeurs, les entreprises craignent ou subissent déjà la crise et la récession économique.

2. Les employés ont peur de perdre du pouvoir d’achat et craignent des pertes d’emploi.

Nous proposons un nouveau paradigme

1. Il est temps d’arrêter d’opposer patrons et salariés, le combat est le même : relancer la machine, relancer l’économie, sauver les entreprises, sauver les emplois et placer la Belgique en tête de peloton de la relance.

2. Ce combat, il n’est pas uniquement celui des patrons pour sauver leur boite. Il est aussi celui des salariés pour sauver leur emploi. L’union entre les deux doit être couronnée de succès.

3. Mais aujourd’hui, elle ne l’est parfois pas suffisamment. Elle n’est du moins pas assez solide, chacun défendant parfois uniquement ses propres intérêts alors que l’objectif doit être commun. L’union nationale employeurs-employés est une des clés de la relance du pays.

4. Reconnaissons que les salariés ne se sentent souvent solidaires que des pertes : à savoir, ils perdent leur emploi quand la boite va mal mais gagnent rarement plus quand elle va bien. Demain, je propose que tous, de cadres à personnel exécutant soient aussi davantage solidaires des victoires de l’entreprise pour laquelle ils travaillent. L’histoire a durablement considéré qu’il fallait solidariser les pertes, aujourd’hui nous disons: il faut solidariser les gains

Lancer l’action populaire

1. Il s’agit concrètement de faire en sorte que les salariés puissent recevoir une partie des bénéfices et progressivement entrer dans le capital de l’entreprise, via plusieurs formes. En réalité, il s’agit de faire en sorte que tous les salariés y aient accès, le cadre mais aussi le caissier du supermarché : intéresser financièrement le salarié à l’avancement de son entreprise.

2. De Gaulle en parlait déjà. Warren Buffett l’a implémenté. Beaucoup y sont favorables et une base légale existe mais tout ça ne fonctionne que très peu.

Une résolution vient d’être déposée au Parlement fédéral par Denis Ducarme pour faciliter cet outil. Il faut vite la voter et l’implémenter !

 

Retrouvez l’intégralité de l’interview de LN24

Energie, Logement, Mobilité : je fais le point

Pour BX1, j’ai donné une interview en long et en large sur différentes thématiques : énergie, Good Move, logements sociaux, situation financière des communes, etc.

Energie : une contribution de crise de la part des opérateurs

Pour diminuer la facture des ménages, de nombreuses choses sont encore à faire. Nous demandons une contribution de crise de la part des opérateurs qui font de gros bénéfices. Il faut développer une législation pour capter ces bénéfices et pouvoir les reverser dans les factures des ménages et des entreprises.

Concernant l’isolation du bâti bruxellois, Bruxelles est en retard. Rénolution est une bonne démarche mais ce plan est arrivé tardivement, avec trop peu de moyens. De plus, ce plan est compliqué à comprendre. « Il faut avoir un Bac +4 pour comprendre ce à quoi on a droit en tant que citoyen« .

Enfin, le MR Bruxelles estime qu’il faut prévoir des glissements de dépenses régionales (par exemple, les dépenses de fonctionnement trop volumineuses) pour aider les ménages et les entreprises durant cette crise.

Good Move : aucune méthode ni de concertation

Le MR défend complètement la philosophie « Moins de pollution, moins d’embouteillages, moins de congestions et moins de trafic de transit ». C’est la mise en œuvre qui laisse à désirer. Good Move est un projet bâclé qui crée beaucoup d’opposition par manque de concertation !

Pour demander aux gens de passer vers une mobilité plus douce, il faut remplir l’autre parti du contrat qui est notamment le développement des transports en communs.

Financer le métro Nord par le privé

Nous sommes favorables à l’expansion du réseau des transports en communs bruxellois. C’est pourquoi, concernant le financement du métro nord, nous recommandons de faire appel au privé et de le privatiser. Si la privatisation permet aux gens de plus utiliser les transports en communs, nous sommes pour. Toutefois, cette privatisation doit se faire dans un cadre légal extrêmement précis, strict et défini.

Privilégier les AIS au lien de construire de nouveaux logements

La politique de construction de logements pour pallier au manque de logements sociaux n’est pas la bonne approche à adopter. La construction de nouveaux logements ne permet pas de diminuer rapidement le nombre de personne en attente d’un logement social.

Pour répondre à cette problématique rapidement, il faut booster les AIS (Agence Immobilière Sociales) et augmenter les allocations de loyers.

Impôts communaux

La plupart des communes bruxelloises sont face à un problème de taille : leurs dépenses. Boucler un budget devient malheureusement de plus en plus problématique pour les communes.

Une solution, qui relève de la Région, est d’augmenter le taux d’emploi. En effet, une partie des impôts des gens qui travaillent remonte aux communes. Par conséquent, lorsque vous avez un taux d’emploi trop faible/un taux de chômage trop élevé, les communes reçoivent moins d’argent.

Retrouvez l’interview de BX1

 

Pour la DH, je dresse plusieurs constats et me positionne sur différents faits d’actualité. sur Bruxelles. J’observe avec intérêt la progression du Mouvement Réformateur à Bruxelles.

Quelques extraits ci-dessous.

Selon un récent sondage, le MR serait 2e parti à Bruxelles. « Notre travail de terrain paie », analyse le président du MR bruxellois David Leisterh dans la DH. « Nous avons renouvelé la quasi-totalité de nos cadres à Bruxelles. La clé est de maintenir l’esprit collectif et de faire connaître ces nouveaux cadres dans les communes où nous avons été moins présents ces dernières années. Je suis optimiste ».

David Leisterh se définit avant tout comme le président d’une équipe et comme le responsable d’un projet. Il se réjouit de pouvoir travailler avec des personnalités de qualité comme Sophie Wilmès, Alexia Bertrand, Valérie Glatigy, Boris Dilliès ou Vincent De Wolf. « Nous sommes une équipe, nous privilégions le collectif », explique-t-il à la DH. « Notre objectif est de remporter la coupe, pas de savoir qui portera cette coupe », explique le député bruxellois qui ne revendique rien à titre personnel et qui salue l’action du président Georges-Louis Bouchez, dont la visibilité médiatique rejaillit sur le MR à Bruxelles.

Pour David Leisterh, Bruxelles a besoin d’une grande force de centre-droit. « Nous, les libéraux, on se sent parfois un peu seul. Défi se rapproche parfois de nos thèses mais est malheureusement dans une coalition de gauche et Les Engagés sont un peu plus en difficulté. Nous ouvrons nos portes pour des projets libéraux, dans chaque commune. Si certains veulent nous rejoindre, la porte est grande ouverte ». David Leisterh voit par contre d’un mauvais œil le projet bruxellois de la N-VA.

David Leisterh évoque quelques faits d’actualité, comme le plan de mobilité Good Move. « A Anderlecht, le projet a été bâclé », explique-t-il. « Je n’ai pas entendu de riverains dire qu’ils étaient contre le fait qu’il fallait moins de pollution, qu’il ne fallait pas aérer le quartier. La réaction virulente de certains habitants est, selon moi, une réaction à un forme de mépris voire une certaine arrogance exprimée par certains échevins en charge de la Mobilité, qui ne veulent pas entendre que leur plan est mal réalisé, mal agencé. Si l’on veut vraiment apaiser la ville, il faut le faire avec talent et méthode ».

Le MR défend une autre approche, qui doit d’abord passer par la concertation et une vision plus globale des quartiers « On n’améliore pas la mobilité en plaçant des blocs de béton », constate David Leisterh. « Il faut ensuite investir dans les alternatives à la voiture avant de l’interdire. Le taux de couverture de la Stib a très peu évolué ces 20 dernières années. Faisons appel au secteur privé via des contrats de gestion. Madrid, Barcelone, Copenhague l’ont fait, cela fonctionne ». Enfin, le président du MR bruxellois estime que Bruxelles doit s’ouvrir aux nouvelles technologies. La majorité actuelle est trop frileuse face à Uber, aux voitures partagées…

David Leisterh s’inquiète de la dette bruxelloise, qui pourrait atteindre 15,2 milliards en 2027, soit 6 milliards de plus qu’en 2022. « C’est très inquiétant. On a parlé du métro sous-financé, d’autres évoquent un problème pour le paiement des allocations familiales. Comment le gouvernement bruxellois va-t-il pouvoir aider ses commerçants, ses indépendants ? Nous constatons que, progressivement, Bruxelles entre dans une sorte de désert économique », déplore-t-il.

Si le MR revient au pouvoir en 2024, David Leisterh s’engage à mettre en place un écosystème vertueux autour des écoles. « On y trouvera une antenne Actiris, une antenne de Bruxelles Formation, une crèche, des entreprises, etc. Et nous mettrons tout le monde en relation, en interactions. Ceci dans les 10 quartiers au taux de chômage le plus élevé. Dans le même temps, nous rénovons ces quartiers. Ce n’est qu’en sauvant ces déserts sociaux qu’on fera rayonner Bruxelles », explique-t-il.

En matière d’emploi et de formation, le MR soutient le projet de fusion d’Actiris et de Bruxelles-Formation. Le MR bruxellois veut aller plus loin en offrant aux entreprises ou groupements d’entreprises l’opportunité de former elles-mêmes leur personnel. « Si ça marche et que le taux d’emploi s’en ressent, l’entreprise obtient un agrément et devient entreprise formatrice. Une partie du coût de la formation serait prise en charge par les pouvoirs publics. À la fin du cursus, le stagiaire est alors embauché par l’entreprise. La France a mis ce processus en place, avec un grand succès : + 40 % de formations en deux ou trois ans », conclut David Leisterh.

 Interview complète de la DH

Limiter l’indexation des loyers : une mauvaise idée

Sur BX1, j’ai expliqué pourquoi la limitation de l’indexation des loyers est une mauvaise idée : PEB différent, lenteur administrative, etc.

Un PEB différent et des une lenteur administrative

Les normes pour le PEB sont plus strictes à Bruxelles qu’en Flandre et qu’en Wallonie. Pour un même bien, le PEB sera moins bon de 2 ou 3 notes à Bruxelles.

De plus, il faut trois fois plus de temps pour avoir un permis à Bruxelles, ce qui freine les ardeurs des propriétaires. La main d’oeuvre est également de plus en plus rare car, parmi les 134 métiers en pénurie, bon nombre proviennent du secteur de la construction. Il faut activer la formation et l’emploi pour, ensuite, avoir la main d’oeuvre qualifiée pour rénover.

Cohabitation : qui prend en charge la rénovation ?

La mesure souhaitée par le Gouvernement bruxellois ne répond pas à tous les cas qui peuvent se présenter. Exemple : si un propriétaire détient un bien situé au dernier étage d’un immeuble, que la principale source de déperdition d’énergie provient du toit, et que les autres copropriétaires (des autres appartements dans l’immeuble) ne veulent pas rénover le toit, la situation est délicate. Le premier propriétaire se retrouve dans l’incapacité de rénover.

Les propriétaires ne sont pas tous des riches entrepreneurs investisseurs

Il existe beaucoup de petits propriétaires. Dire que les propriétaires sont tous des riches entrepreneurs est une image dangereuse à renvoyer. Pour info, à peine 25% des propriétaires indexent leur loyer.

Ayant la chance d’être Président de CPAS, j’assiste à des profils variés. Dans la même heure, vous pouvez avoir un citoyen en difficulté de payer son loyer trop élevé, et, un propriétaire dont la principale ressource est justement un des loyers qui n’est pas payé par le locataire. Pour la même situation, vous pouvez avoir deux précaires.

 

Retrouvez l’interview complète ICI.

Privilégier le prolongement des centrales nucléaires

Invité sur LN24 avec la FGTB pour répondre à la question : « Les Belges vont-ils se soulever (suite à la crise énergétique) », j’ai entre-autres répondu qu’à la peur et l’angoisse de la facture à payer, il ne fallait pas ajouter la colère suite à des mauvaises décisions et propositions formulées pour faire face à cette crise.

Nucléaire > Gaz

Si les citoyens n’adhèrent pas, ou peu, aux mesures du Gouvernement, c’est parce qu’elles sont contradictoires. En effet, alors que l’objectif est de diminuer les émissions de CO2, Ecolo-Groen veut instaurer des centrales au gaz qui émettent énormément de CO2. Pour le MR, il faut prolonger au moins 5 centrales nucléaires. Le nucléaire est une source d’énergie qui émet le moins de CO2.
En outre, la prolongation permettrait également d’optimiser notre indépendance énergétique. Les solutions doivent être efficaces et surtout concerner tout le monde, pas qu’une partie de la population ou des entreprises.
Retrouvez l’interview complète ICI.

Jeunesse : confiance et responsabilisation

À vos 18 ans, on vous offre un choix : soit vous touchez vos allocations familiales comme c’est le cas actuellement, soit, à la place, vous touchez 25.000 € contre des conditions.

Faire briller la jeunesse

Nous proposons au jeune de 18 ans de recevoir 25.000€ contre ses allocations familiales. Pour cela, cet argent doit servir à remplir l’une des trois conditions suivantes :
– vous l’investissez dans un projet immobilier (on sait que souvent c’est la mise de départ qui manque) —> pour Bruxelles, cette proposition aide à garder ou créer de la classe moyenne.
– Soit vous l’investissez dans de la formation (une grande école ou autres) —> pour Bruxelles, ça permet de donner un coup de pouce à celles et ceux qui cherchent à gagner la bataille des talents.
– Soit vous l’investissez dans la création de votre entreprise (starter ou autres) —> il y a des centaines d’entrepreneurs en herbe à Bruxelles à qui il manque parfois juste les fonds de départ.
Bref, un parti politique c’est aussi là pour débattre et formuler des propositions. Celle-ci est prévue pour ne pas coûter beaucoup plus à la sécurité sociale (déjà mise à mal), puisqu’il s’agit de recycler des montants déjà prévus (allocations familiales entre autres).
Qu’en pensez-vous ?

La formation en alternance pour augmenter le taux d’emploi

Sur LN24, j’ai défendue l’idée de la formation en alternance. Ce principe est déjà utilisé en France et a permis l’augmentation de 40% du nombre de personnes formées.

Remplir les postes vacants

De nombreuses entreprises me contactent pour me dire qu’elles ne trouvent plus personne pour remplir leurs postes vacants. On le voit, l’aéroport de Zaventem recherche 1500 personnes alors qu’à une dizaine de minutes, vous avez des communes avec un des taux d’emploi le plus faible du pays.

En outre, des demandeurs d’emploi veulent travailler mais manquent parfois de qualification. Et malheureusement, les formations offertes par les opérateurs publics sont de qualité mais ne suffisent pas/plus.

La Formation en alternance

Il faut basculer vers le système français : les entreprises deviennent elles-mêmes formatrices et reçoivent une partie des moyens pour le faire. En France, en 2 ans, + 40% de personnes formées.
L’État financerait une partie des apprentis pendant un an, deux ans, trois ans. Et au-delà de cela, les secteurs peuvent engager directement le jeune formé.

Les secteurs savent mieux que quiconque

Le secteur de l’Horeca ou le secteur de la construction savent quels types de métiers sont nécessaires dans leur milieu. Il faut leur faire confiance en leur octroyant les moyens pour former.

L’abattage rituel avec étourdissement concilie bien-être animal et liberté de culte

Ce mercredi soir, j’étais sur les plateaux de la RTBF pour défendre l’idée d’étourdir un animal avant son abattage. Retrouvez le débat complet ICI.

Des éléments scientifiques

Il faut pouvoir dépassionner ce débat. En effet, plusieurs élus communaux libéraux ont reçu des menaces car ils promouvaient l’étourdissement avant l’abattage. Or, il faut pouvoir avoir un débat avec des éléments objectifs et scientifiques sur la table.

Une mesure déjà prise dans beaucoup d’endroits

La Wallonie, la Flandre, mais aussi plusieurs pays à travers le monde ont déjà opté pour l’étourdissement préalable afin de réduire la souffrance animale. Plusieurs pays dits musulman (Jordanie, Indonésie, Emirats, Maroc) ont opté pour l’abattage car ils savaient que cela réduisait la souffrance de l’animal.

Cela respecte la liberté de culte

Selon la Cour de justice de l’Union européenne, l’étourdissement avant l’abattage respecte la liberté de culte. En effet, la Cour de Justice a statué cela dans son article 1099-2009.

 

Jeux de hasard : une 3e voie est possible

Ce dimanche 15 mai, j’étais sur l’émission dominicale de RTL pour parler de la publicité sur les jeux de hasard.

Un Gouvernement en débat, pas en danger

Cette semaine, le Ministre de la Justice, Vincent Quickenborne, a pris la décision sans réelle concertation d’interdire la publicité des jeux de hasard. Au MR, nous ne voulons pas choisir l’interdiction. En tant que Libéraux, on pense qu’entre l’interdiction et l’incitation il y a un espace plus constructif de prévention, d’éducation et de régulation. Et on est prêt à aller très loin en la matière.

Plusieurs relaient un Gouvernement instable et en danger. Je vois un Gouvernement en débat. Ces discussions sont synonymes d’une vivacité démocratique.

Fin de petits clubs ?

L’interdiction de la pub pour les jeux de hasard mettrait en danger tout un secteur de grands clubs, mais également une série de petits clubs. Ces derniers, en période de crise budgétaire, vivent notamment grâce aux revenus engendrés par cette publicité.

 

Retrouvez l’émission complète de RTL ICI.