Jeunesse : confiance et responsabilisation

À vos 18 ans, on vous offre un choix : soit vous touchez vos allocations familiales comme c’est le cas actuellement, soit, à la place, vous touchez 25.000 € contre des conditions.

Faire briller la jeunesse

Nous proposons au jeune de 18 ans de recevoir 25.000€ contre ses allocations familiales. Pour cela, cet argent doit servir à remplir l’une des trois conditions suivantes :
– vous l’investissez dans un projet immobilier (on sait que souvent c’est la mise de départ qui manque) —> pour Bruxelles, cette proposition aide à garder ou créer de la classe moyenne.
– Soit vous l’investissez dans de la formation (une grande école ou autres) —> pour Bruxelles, ça permet de donner un coup de pouce à celles et ceux qui cherchent à gagner la bataille des talents.
– Soit vous l’investissez dans la création de votre entreprise (starter ou autres) —> il y a des centaines d’entrepreneurs en herbe à Bruxelles à qui il manque parfois juste les fonds de départ.
Bref, un parti politique c’est aussi là pour débattre et formuler des propositions. Celle-ci est prévue pour ne pas coûter beaucoup plus à la sécurité sociale (déjà mise à mal), puisqu’il s’agit de recycler des montants déjà prévus (allocations familiales entre autres).
Qu’en pensez-vous ?

La formation en alternance pour augmenter le taux d’emploi

Sur LN24, j’ai défendue l’idée de la formation en alternance. Ce principe est déjà utilisé en France et a permis l’augmentation de 40% du nombre de personnes formées.

Remplir les postes vacants

De nombreuses entreprises me contactent pour me dire qu’elles ne trouvent plus personne pour remplir leurs postes vacants. On le voit, l’aéroport de Zaventem recherche 1500 personnes alors qu’à une dizaine de minutes, vous avez des communes avec un des taux d’emploi le plus faible du pays.

En outre, des demandeurs d’emploi veulent travailler mais manquent parfois de qualification. Et malheureusement, les formations offertes par les opérateurs publics sont de qualité mais ne suffisent pas/plus.

La Formation en alternance

Il faut basculer vers le système français : les entreprises deviennent elles-mêmes formatrices et reçoivent une partie des moyens pour le faire. En France, en 2 ans, + 40% de personnes formées.
L’État financerait une partie des apprentis pendant un an, deux ans, trois ans. Et au-delà de cela, les secteurs peuvent engager directement le jeune formé.

Les secteurs savent mieux que quiconque

Le secteur de l’Horeca ou le secteur de la construction savent quels types de métiers sont nécessaires dans leur milieu. Il faut leur faire confiance en leur octroyant les moyens pour former.

L’abattage rituel avec étourdissement concilie bien-être animal et liberté de culte

Ce mercredi soir, j’étais sur les plateaux de la RTBF pour défendre l’idée d’étourdir un animal avant son abattage. Retrouvez le débat complet ICI.

Des éléments scientifiques

Il faut pouvoir dépassionner ce débat. En effet, plusieurs élus communaux libéraux ont reçu des menaces car ils promouvaient l’étourdissement avant l’abattage. Or, il faut pouvoir avoir un débat avec des éléments objectifs et scientifiques sur la table.

Une mesure déjà prise dans beaucoup d’endroits

La Wallonie, la Flandre, mais aussi plusieurs pays à travers le monde ont déjà opté pour l’étourdissement préalable afin de réduire la souffrance animale. Plusieurs pays dits musulman (Jordanie, Indonésie, Emirats, Maroc) ont opté pour l’abattage car ils savaient que cela réduisait la souffrance de l’animal.

Cela respecte la liberté de culte

Selon la Cour de justice de l’Union européenne, l’étourdissement avant l’abattage respecte la liberté de culte. En effet, la Cour de Justice a statué cela dans son article 1099-2009.

 

Augmenter le taux d’emploi à Bruxelles

Bruxelles a un taux d’emploi trop faible, il est à 62%. En comparaison celui de Paris est à 89%, Londres à 75%, et Stockholm à 85%.

Des entreprises cherchent des travailleurs

Il y a quelque chose que je ne parviens pas à comprendre. Chaque jour, des entreprises m’expliquent vouloir se développer à Bruxelles mais elles ne trouvent pas la main-d’oeuvre.
Des emplois existent pour celles et ceux qui en cherchent mais souvent les qualifications nécessaires semblent leur manquer.

Deux solutions

Je propose deux solutions :
1. Avec Clémentine Barzin, nous nous sommes inspirés de ce qui se fait en France depuis 2 ans : l’Etat a décidé de donner les moyens aux entreprises pour qu’elles-mêmes deviennent formatrices. En résumé : elles détectent les métiers pour lesquels elles ont besoin de main-d’oeuvre, elles proposent ensuite une formation rémunérée en interne (qui mène à un emploi chez elles) et elles reçoivent une aide de l’Etat pour financer à la fois la formation mais aussi une partie (pas tout) de la rémunération de l’apprenti. En deux ans de temps, c’est 40% de Français en + qui sont en train de se former. La révolution est bouleversante mais surtout inspirante pour Bruxelles. C’est celle qu’on doit implémenter à Bruxelles.
2. Le problème de sous-qualification des Bruxellois sur le marché du travail doit se régler à la racine : à l’école. (1) À Malines, Bart Somers a su créer une classe moyenne dans des quartiers difficiles autour d’un cœur: une école d’excellence, avec de beaux bâtiments. Autour, il a créé un biotope émancipateur avec des services décentralisés d’Actiris et de Bruxelles Formation, une crèche pour s’occuper des enfants des parents qui se forment à côté, des asbl comme TADA ou Job Yourself pour susciter des vocations d’entrepreneurs. (2) En amont il a garanti la sécurité dans chaque quartier, condition sine qua non à son développement. (3) Enfin, il a mené une vraie politique de rénovation urbaine où il a fait du beau là où ça ne l’était pas, là où étaient les plus démunis.
A travers le monde, lisez les histoires des villes ou régions qui ont pu se développer et devenir pionnières : il leur a souvent fallu entre 10 et 15 ans. Bruxelles peut y arriver plus vite.

Faire de Bruxelles une Copenhague bis

Il y a quelques semaines, nous nous sommes rendus à Copenhague.

Pourquoi Copenhague ?

1. Il y a 15 ans, Copenhague était une ville qui connaissait une situation de précarité et de taux de chômage élevés. Aujourd’hui, c’est une ville qui attire 1000 habitants supplémentaires par mois tant elle est inspirante et source d’emplois et de richesse.
2. L’attractivité d’une ville se juge à la manière dont elle est capable d’attirer des entreprises, des talents, des ménages, de l’activité et du confort. Pour y arriver, il faut travailler à la qualité de vie, la fiscalité, l’offre de divertissement mais le premier levier reste l’accessibilité. Ils ont du coup pris le temps, en 15 ans, de développer une mobilité réconciliée, intelligente et bien pensée où, si vous n’avez pas besoin de votre voiture, naturellement vous prenez le transport en commun ou un vélo parce que tout a été étudié pour (pistes cyclables sécurisées et confortables, offres de transport en commun solide).
Ces deux réussites sont le fruit d’une vision claire – tracée il y a 15 ans – visant à atteindre un objectif clair : être neutre en carbone en 2025.

Pour y arriver, en 15 ans, ils y ont appliqué une recette en 3 ingrédients

1. Créer un récit, un narratif, un horizon clair : leur objectif est d’avoir une ville zéro carbone en 2025. Ils ont développé à l’époque un plan tellement ambitieux mais réaliste à la fois que tous les partis du conseil communal l’ont voté. Une adhésion au projet était obtenue dès son entame. Au lieu d’imposer et donc d’opposer, ils ont cherché à adhérer. Bravo.
2. Incorporer dans cette belle histoire à la fois les pouvoirs publics, le secteur privé mais aussi les citoyens. Pour exemple, vu qu’ils sont près de l’eau, ils ont placé grâce des sociétés privées des éoliennes dont 50% ont été rachetées par les habitants de la ville… En parallèle, un hub de startups développant des nouvelles technologies en matières environnementales (et donc des emplois) grandit chaque jour au coeur de la ville.
3. Se baser sur des plans clairs, étudiés, concertés et précis, déclinés en clusters et en mesures, par quartiers. Tout le monde savait ce qui allait se passer dans son quartier (et ne le découvrait pas un matin en se réveillant). Intéressant par exemple de voir parmi ceux-ci comment ils ont faire de leur canal une vraie richesse.

Faire de Bruxelles une Copenhague bis

Tout n’est pas mauvais à Bruxelles mais alors que la Flandre a vu son ministre du Bart Somers désigné Ambassadeur du climat auprès de la Commission européenne, Bruxelles peine encore à s’imposer comme pionnière en la matière.
Faire de Bruxelles, une Bruxelles-la-Nouvelle ou une Copenhague bis, sans la Sirène mais avec Manneken Pis, bref une Bruxelles à qui le bleu irait tellement mieux n’est pas impossible mais il va falloir (beaucoup) travailler, et vite. Avec tout le monde.

Fin d’Uber ? Non !

Ce matin, nous avons débattu du Plan Taxi.

Une réelle cohabitation

Pour le MR, la donne est claire : ce Plan Taxi doit permettre une réelle cohabitation entre Taxi, Uber, Heetch et autres chauffeurs de plateformes.

Pour rappel, en décembre, le Gouvernement bruxellois avait interdit Uber dans la Capitale. Il n’était plus possible pour les citoyens d’utiliser la plateforme. Nous nous sommes battus pour la réintroduction de ces indépendants.

Un plan à améliorer

Le Plan Taxi proposé par le Gouvernement bruxellois contient des améliorations, c’est vrai. Toutefois, beaucoup de discriminations persistent. Un, il pourrait y avoir moins de chauffeurs Uber, Heetch que de chauffeurs Taxis. Deux, en tant que chauffeur Uber, Heetch, vous ne pouvez plus avoir de client privé.

Le Conseil d’État souligne d’ailleurs que : « une telle différence de traitement est de nature à porter atteinte à la liberté d’entreprendre des actuels titulaires d’autorisation concernés ». Le Gouvernement bruxellois instaure une différence de traitement entre ces deux types de transport individuel.

Viaduc Herrmann-Debroux : le Gouvernement bruxellois ne vous dit pas tout

Ces derniers jours, les médias ont beaucoup parlé de la destruction du viaduc Herrmann-Debroux. En effet, le Gouvernement bruxellois prévoit une potentielle destruction pour 2030. Mais, ce dernier ne nous dit pas tout.

Un aménagement pas si bien réfléchit

Tout d’abord, je tiens à souligner que ce viaduc est une balafre d’une ancienne époque. Sa destruction doit être réfléchie et aménagée. Or, le Gouvernement bruxellois ne vous raconte pas tous les aspects.

Un parking de dissuasion trop petit

Afin de réduire le nombre d’entrées de véhicules, une des solutions envisagées consiste en l’instauration de parkings de dissuasion. Bruxelles compte en mettre un, mais il sera trop petit. À peine quelques centaines de places pour les milliers d’automobilistes wallons qui arrivent chaque matin dans la capitale.

Transports en commun : trop de ruptures de charge

Habituellement, lorsque vous créer un parking de dissuasion, vous l’accompagnez de transports en commun efficace et rapide. Or, les automobilistes qui se gareront au parking devront emprunter 3 à 4 transports minimum pour se rendre dans le centre. Ils devront d’abord prendre le tram 8 à l’Adeps, puis descendre à Herrmann-Debroux et ensuite changer à Merode. Ce procédé est très lourd pour quelqu’un qui se rend tous les matins sur Bruxelles.

Au MR, nous proposons de prolonger le métro Herrmann-Debroux en aérien jusque l’Adeps (le prolonger en souterrain couterait beaucoup trop cher).

Le tram 8 coupé en 2

Le Gouvernement bruxellois compte couper la ligne de tram 8 en deux. Autrement dit, au carrefour Herrmann-Debroux, il faudra descendre du tram, traverser la chaussée et le reprendre pour continuer. Il n’y aura plus de continuité de la ligne comme c’est le cas aujourd’hui. C’est à nouveau très lourd pour les personnes venant de Watermael-Boitsfort ou de Woluwe qui devront prendre un transport supplémentaire alors qu’il s’agit de la même ligne.

Jeux de hasard : une 3e voie est possible

Ce dimanche 15 mai, j’étais sur l’émission dominicale de RTL pour parler de la publicité sur les jeux de hasard.

Un Gouvernement en débat, pas en danger

Cette semaine, le Ministre de la Justice, Vincent Quickenborne, a pris la décision sans réelle concertation d’interdire la publicité des jeux de hasard. Au MR, nous ne voulons pas choisir l’interdiction. En tant que Libéraux, on pense qu’entre l’interdiction et l’incitation il y a un espace plus constructif de prévention, d’éducation et de régulation. Et on est prêt à aller très loin en la matière.

Plusieurs relaient un Gouvernement instable et en danger. Je vois un Gouvernement en débat. Ces discussions sont synonymes d’une vivacité démocratique.

Fin de petits clubs ?

L’interdiction de la pub pour les jeux de hasard mettrait en danger tout un secteur de grands clubs, mais également une série de petits clubs. Ces derniers, en période de crise budgétaire, vivent notamment grâce aux revenus engendrés par cette publicité.

 

Retrouvez l’émission complète de RTL ICI.

Copenhague doit être un exemple pour Bruxelles

Les libéraux Bruxellois se sont rendus en voyage d’études à Copenhague pour s’inspirer des initiatives prises par la Ville en matière de mobilité, de dynamisme économique et de stratégie à long terme. Le décalage avec les politiques menées à Bruxelles est frappant !

Ce qui frappe immédiatement, c’est que Copenhague s’est fixée, dès 2012 !, un objectif de neutralité carbone à l’horizon 2025. Depuis lors, tous les acteurs se sont mis en mouvement pour mettre en place des politiques coordonnées, efficaces autour d’un objectif chiffré et clair.

Un nouveau quartier sur l’eau

De la mobilité à la consommation d’énergie du bâti en passant par l’aménagement urbain, la mise en place d’un parc éolien offshore, la gestion des déchets et le soutien à des startups innovantes, Copenhague a des années d’avance sur Bruxelles, en termes à la fois de vision et d’implémentation.

« Nous avons pu constater sur place la force d’innovation des pouvoirs publics », appuie David Leisterh, président du MR Bruxelles et instigateur de ce voyage d’étude. « Par exemple, en 2035, Copenhague a prévu un projet complètement fou : construire tout un nouveau quartier (le Lynetteholmen) sur l’eau. Ce projet doit apporter 35.000 logements supplémentaires, dont 25% de logements abordables, et créer 35.000 jobs. À Copenhague, 25% seulement des trajets sont faits en voiture car ils ont mis en place des infrastructures adaptées pour les cyclistes et ils font en sorte que le trajet à vélo, à pied ou en transport en commun soit le plus facile et avantageux possible. Tout cela s’est réalisé de manière réfléchie, cohérente et surtout pour répondre aux réalités vécues dans chaque quartier par les Copenhagois. Bruxelles devrait s’en inspirer, nous le répétons depuis des mois. »

Un partenariat étroit avec le privé

La délégation menée par David Leisterh et Alexia Bertrand, cheffe de groupe MR au Parlement bruxellois, a pu parcourir les rues de la capitale danoise en long et en large en compagnie de son ancien maire : Bo Asmus Kjeldgaard. Ce dernier a largement contribué à la transformation de la Ville.

« Tout cela s’est fait en partenariat étroit avec le secteur privé », ajoute d’ailleurs Alexia Bertrand. « Nous avons pu nous entretenir avec le CEO de Bloxhub, Torben Klitgaard, dont l’entreprise s’est spécialisée dans les politiques de rénovation et offre un lieu de coworking unique à différentes entreprises actives dans le secteur. Cela crée de convergences et des partenariats entre ces entreprises. Cette dynamique entrepreneuriale a été favorisée par les pouvoirs publics qui considèrent le secteur privé comme un véritable partenaire et un appui précieux dans les objectifs climatiques de la ville. Nous avons également pu constater que 99% du chauffage des habitations à Copenhague provient d’un même système de chauffage qui fonctionne grâce à un parc éolien offshore et à la biomasse. Quand on sait qu’à Bruxelles, 60% des émissions de CO² proviennent du bâti, j’invite les ministres bruxellois à venir jeter un coup d’œil à ce qui est fait chez nos amis nordiques. »

Reproduire ce schéma à Bruxelles

Pour le président du MR Bruxelles David Leisterh, cela ne fait aucun doute, le projet de ville mis en place à Copenhague correspond tout à fait à celui qui est porté par les libéraux.

« Et le bleu ira tellement mieux à Bruxelles ! Quand je vois le dynamisme dans l’innovation, dans la technologie et dans la cocréation urbaine à Copenhague, je me dis qu’il y a quelque chose à faire chez nous aussi », pointe-t-il. « Quand je suis arrivé à Bruxelles, j’avais des étoiles dans les yeux et je veux redevenir ce jeune étudiant émerveillé par une capitale qui reprend son destin en main. C’est le projet des réformateurs. Pour nous, Bruxelles doit être une pionnière dans toutes les matières malheureusement, c’est loin d’être le cas actuellement. Mais le potentiel est là, il faut maintenant que nous nous mettons au travail pour lui permettre de s’exprimer. »

Le MR Bruxelles à l’assaut des quartiers

Sur BX1, j’ai tenu à souligner le retour de la présence du MR Bruxelles sur le terrain. En effet, depuis plusieurs mois, les libéraux sont dans les quartiers, à la rencontre des concitoyens.

Des libéraux dans tout Bruxelles

Toute réussite a des départs qui doivent être modestes. Et mon parti, quand je l’ai repris en charge à Bruxelles, connaissait une situation électorale, en tout cas qui n’était pas des meilleures. Il faut reconnaitre que le MR n’a pas eu de bonnes élections communales, régionales ni fédérales exceptionnelles.

Et donc, on a tout un travail à la fois de reconstruction en interne, mais aussi de travail de terrain pour aller dans les quartiers, là où on ne nous a pas assez vu, là, on a un peu déçu qui doit être fait. Ce travail ne s’effectue pas deux semaines avant les élections, mais deux ans. C’est pour quoi, nous avons distribué à chaque président de section un pack avec quoi distribuer dans leur commune.

Dans ce travail de terrain, le covid ne nous a pas aidé, mais on renforce la dynamique jour après jour. On est déjà occupé depuis quelques semaines, voire quelques mois. On est déjà occupé depuis quelques semaines, voire quelques mois.

L’emploi : vecteur d’intégration et d’émancipation

L’emploi est une source d’intégration exceptionnelle. Quand vous pouvez trouver un emploi ou quand vous avez une formation qui doit vous amener vers un emploi, on sait que ça peut quand même grandement vous aider aussi à vous émanciper.

Le politique a un rôle primordial dans l’intégration. Exemple : vous avez l’aéroport de Zaventem à quinze minutes de Molenbeek. Récemment, l’aéroport a annoncé qu’ils cherchaient pas loin de 1000 personnes. Pourquoi à Molenbeek, et dans d’autres communes, vous avez autant de personnes qui cherchent un emploi alors qu’à un quart d’heure, des entreprises ne trouvent pas leur personnel.

Selon moi, il y a probablement quelque part en termes de formation publique offerte par les pouvoirs publics où le Parti socialiste est depuis de nombreuses années, un gros problème.

En outre, j’ai également condamné les propos de Cooner Rousseau concernant Molenbeek.

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